17/04/2009

A moi Kafka


Décryptage de Douceur angevine

Quand Muriel Brzegowy (directrice de l'IFRAMES Le Campus à Angers, 49000), Patrick Lehoux et Christian Stéphan, signataires de Douceur angevine, singent la langue juridique.

Tout ce qu’ils en sont, psychologue ou simple éducateur, ils en oublient un aspect élémentaire de celle-ci : l’exposé des faits.

Que valent les faits pour eux ? C'est bien simple, ils n'apparaissent nulle part. On dirait qu'ils les escamotent, les faits, purement et simplement, au profit de concepts fumeux, caractéristiques d’une novlangue sûre d’elle-même, méprisante des autres et des règles communes.

Leur « arrêt », qui se donne des faux airs juridiques, n'est rien de plus qu'une construction intellectuelle, si l'on ose dire.

Condamner « l'autre », sans jamais énoncer aucun fait, voilà qui pourrait rappeler Le procès, de Franz Kafka, non ?

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